L’un, Philippe Battaglia, quand il ne livre pas des chroniques humoristiques à la radio suisse, publie des textes gore édités par le second, Christophe Siébert (Prix Sade 2019), ou offre une relecture humoristique et érudite de l’histoire des apôtres. Celui-ci, performeur à ses heures, poursuit une œuvre monde, situant son dernier roman, comme les précédents, dans la mégapole post-soviétique fictive de Mertvecgorod, miroir exacerbé de toutes les décompositions politiques présentes.