Le texte de la Québécoise Julie Bouchard donne à voir de nombreuses “petite natures mortes au travail” qui finissent par se rencontrer dans un final à la Robert Altman. Jeanne Rivière, quant à elle, avec “Lorraine brûle”, excelle, par une écriture fragmentaire, à dépeindre une héroïne badass, mère célibataire qui part travailler aux aurores, et trouve un échappatoire dans la musique, le BDSM et la nage.